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 Les expériences de la Maison VII représentent une opportunité extraordinaire de transformation 

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On arrive difficilement à rencontrer l’«autre» après le processus de différenciation qui s'est déroulé dans les 6 premières Maisons. A partir de maintenant, il faut être prêt à pouvoir nier ses erreurs egocentrique. Alors que devient le moi «je» né à l’Ascendant dans le développement de la conscience de l’«autre», est-ce qu'il va disparaître dans la relation?
Il faut oser briller, faire vivre dans la relation la qualité du Signe de la cuspide de la Maison VII. Les Signes sont les archétypes qui composent le substrat du résultat des expériences millénaires de l’être humain. La force qui anime l'existence d'un vrai individu puise dans ce substrat et l’instruction céleste avec par exemple le Signe du Cancer sera: «Tu feras de la relation un foyer, une bulle protectrice, tu feras de la relation un endroit où tu protégeras la perle». 
Durant la petite enfance, l’enfant prend l’habitude d’adressée une demande à l’«autre». Le «je» de l’enfant cherche à privilégier le «tu», il demande au «tu» de sa relation de lui donner ce qu’il lui manque pour trouver son équilibre. 
L’enfant fait peser une demande sur l’autre, «panse-moi». 
Adulte, c’est une attente que l'on fait peser sur la relation.

Depuis son entrée en existence, l’enfant a pris l’habitude pour découvrir son identité, à fonctionner sur un modèle d’exclusion de tout ce qui n’est pas lui en s’identifiant à son Ascendant. C'est un état de conscience établit au moment de la naissance.
Le pôle opposé, le Descendant, représente une compensation, une qualité dont il est encore inconscient mais dont il va avoir besoin pour fonctionner de manière objective avec les autres. Il lui faut se rendre sur le pôle opposé à son Ascendant. Si arriver à l'état d’adulte, il n'a pas intégré le pôle opposé, il va continuer à demander à l’autre de lui donner la face cachée de lui-même.
Le Descendant représente une opportunité extraordinaire de transformation. C’est grâce à la qualité du Signe qui se trouve sur la cuspide de la Maison VII que l’on peut vivre plus ou moins automatiquement avec tout ce qui n’est pas soi. C’est grâce à cette nouvelle attitude, en développant les qualités du Descendant avec ses relations et en les vivants plus ou moins automatiquement, que l’on découvre qui on est. L’Ascendant donne une image profonde de soi qui ne peut exister qu’en trouvant sa stabilité en Maison IV.

Il y a plus de vingt siècles, Jésus nous donna deux grands commandements: «Aimez vous les uns les autres» et «Faites aux autres ce que vous voudriez qu’ils vous fassent». Le deuxième explique le premier et lui donne toute sa portée.
Jésus n’est pas venu pour nous faire mépriser l’existence terrestre et renoncer à toute action concrète. Il n’avait pas pour but d’exalter les sentiments aux dépens d’une vie productive et transformatrice. Il est venu nous révéler un nouveau monde de vie basé sur le grand principe de la mutualité – une mutualité consciemment et volontairement acceptée.
Nous avons vu que le premier de nos grands tests est celui de l’isolement; naître c’est devenir isolé. Tout accomplissement de valeur a commencé dans l’isolement; mais rien de vraiment grand ne peut être réalisé que par la mutualité. L’individualité se base sur le singulier; l’amour est partage coopératif. Individualité et relation sont les deux piliers de croissance pour tout être humain. Au début l’homme prend conscience du Moi qui l’individualise; mais il doit comprendre la nécessité de la réciprocité et de l’amour. Cet amour n’est pas, en essence, un sentiment; c’est la semence de la mutualité

 Le mot mutuel vient de la racine latine muto qui signifie «CHANGER». L’étymologie révèle le sens profond du mot et le mystère qu’il cache. Le domaine du Soi, où l’individualité s’affirme d’origine divine dans son unicité, s’étend dans l’éternel. Le «je suis» ignore le changement; c’est la base permanente, dans l’Eprit divin; c’est la semence qui est à la fin des temps ce qu’elle était à l’origine et qui demeure toujours à travers naissances et morts. Au contraire, dans le domaine des rapports interpersonnels, tout est changement. Il y a changement parce qu’il y a mutualité inévitable. Chacun agit sur l’autre et réagit à l’autre. C’est le karma: l’action prise dans le réseau des réactions qui tisse l’univers, en résonance avec elle.
Enfant, l’être humain ne sait pas ce que signifie la mutualité. Il ne sait pas qu’il est capable, en tant qu’individu unique, d’être une origine, d’entreprendre une nouvelle série d’actions et de projeter symboliquement la pierre de sa décision dans l’étang de son environnement.
 
 Adolescent, il est grisé par sa liberté individuelle. Il catapulte ses décisions avec une joie sauvage dans un espace qu’il imagine vide, simplement parce qu’il est excité par le fait de projeter sa semence qu’il a de la peine à contenir. Incapable de faire face à la responsabilité d’être «père», il est tout étonné quand l’univers répond en matrice à son acte et produit un embryon.

L’espace n’est pas un vide passif, un vase sans fond. L’espace est un ensemble de rapports où toute chose est reliée à tout ce qui l’entoure dans une mutualité éternelle et totale.
La mutualité consciente devient participation joyeuse et créatrice lorsque les egos en relation transfigurent les murs qui les isolent et les enferment, en membranes vivantes à travers lesquelles coulent les courants cosmiques de l’amour. 
La participation consciente et joyeuse transforme l’espace universel, non plus en réseau de rapports abstraits, mais en organisme d’amour. L’amour, c’est l’espace plein de joie créatrice.
L’amour devient vraiment homme au moment où il comprend pleinement ce que demandent la participation et la responsabilité et lorsqu’il le réalise dans une activité réciproque qui exprime le fondement commun de l’activité et de la conscience humaine.
Partager, tout en demeurant distinct; être harmonie, tout en conservant l’indivisibilité du Soi; utiliser sa puissance innée, sans rien perdre d’une sagesse objective; nager rythmiquement avec les marées de la vie, tout en étant sûr de cette individualité inaliénable garantie par la présence du Dieu intérieur; aimer en paix; tout donner; mais augmenter sans cesse la substance de son être extérieur: telles sont quelques une des nombreuses phases qu’implique le test de la mutualité. 

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Dans ce champ d’expérience qu’est la Maison VII, il faut découvrir un des plus grands mystères: le mystère de ce qui est. Nous y rencontrons tout ce qu’il faut rencontrer, que nous le voulions ou non, chaque fois que nous sortons de nous-mêmes. Et il nous faut nous lier d’une façon ou d’une autre à ce que nous rencontrons sur le chemin de la vie. En évitant de se lier, en reculant devant la confrontation, on se lie par la peur, forme négative de relation. Si nous butons aveuglément contre ce qui nous fait face, nous établissons une relation basée sur l’instinct. Mais si nous y faisons face ouvertement et avec courage, avec un esprit d’émerveillement ou de curiosité ou dans le but de vouloir grandir à travers la relation, nous nous baignons dans une véritable expression d’amour.
En VII, on doit sortir de soi-même pour rencontrer de nombreuses entités différentes. Et on doit les rencontrer telles qu’elles sont, au lieu de les voir uniquement la plupart du temps, à travers le prisme déformant de ses traditions vénérées, de son éducation, de ses désirs personnels.

C’est le changement pour tout, jusque-là, les 6 premières Maisons ont servi au «moi» d’expériences pour s’individualiser. En VII, la relation avec le monde extérieur débute, c’est la conscience de la relation. L’amour en Maison V va se manifester sous forme relationnelle en VII, pour fonctionner avec d’autres individus. Il faut devenir toujours plus conscient de sa relation, lui donner un sens. Notre attitude dépend de la VII dans la façon d’entrer en relation, cela nécessite le besoin de modifier le sens du «moi» et si le «moi» n’est pas structuré, la personne ne se sent pas assez forte pour transformer le monde, ou se sent trop faible pour affronter le socioculturel.
Si la personne est égocentrique, il est clair qu’elle ne va pas faire de l’expérience relationnelle un terrain profitable pour son développement, par contre elle peut le faire si la souplesse l’emporte sur la rigidité.
Ce qu’on est devenu en passant par les expériences de I à VI, se vit en VII en se liant et en osant l’exprimer dans ses relations. Ce qui se passe en général avec l’égocentrisme, c’est qu’on ne voit pas les choses objectivement en ce qui concerne le monde extérieur, la difficulté principale en VII est d’arriver à revoir totalement sa façon de rencontrer le socioculturel. Il faut s’ouvrir en VII pour développer sa faculté d’amour. L’amour ne doit pas avoir de privilège, mais être à disposition de tout. Tout ce qui sépare est possessif, limitatif, et il ne peut pas y avoir d’amour. Il faut refléter les besoins des autres et ses besoins, car le véritable enjeu de la relation est son fruit, que l’on récolte en Maison VIII.

 Les «deux» dans la relation évoluent

A ce niveau-là, ce qui se passe dans sa vie personnelle n’a rien de personnel, le «je» ne compte pas, c’est le «nous» qui est important, une dimension supérieure cherche à se développer pour permettre la naissance et la conjugaison de deux «je». Les impulsions viennent à nous et c’est la lutte avec le socioculturel qui veut imposer une marche à suivre qui fait naître un ego. L'ego est le fruit de la socialisation.
C’est le contrôle imposé par le socioculturel qui crée des conflits au sein de l’être humain, et ces conflits conduisent à des névroses. De ce point de vue, le caractère de quelqu’un est une forme stabilisée de névrose qu’on nomme aussi «l’ego». L’ego n’est pas une entité, mais une forme d’activité fonctionnelle qui change constamment, selon les besoins momentanés de l’organisme et de son adaptation à l’environnement. En se déconditionnant, on cesse d’être pris en otage par sa société.
En arrivant à voir la signification de tout, il n’y a plus de choix à faire, tout à un sens, on n’exclut plus, tout à sa valeur. On ne décide plus tout seul en VII, il faut apprendre à dire «nous» avant de dire «nous sommes» en Maison X. C’est ici le point de départ de ce que l’on sera capable de faire sur la scène sociale. Avoir le courage de l’aventurier, vouloir faire l’expérience sur le plan de la sensation, développer l’emploi des sens, de l’esthétisme. Les Maison VII, VIII et IX composent le quadrant sud-ouest qui symbolise la fonction SENSATION. 
La Maison VII représente la face cachée de soi. C’est en s’accordant la qualité du signe sur la cuspide de la VII qu’on commence à s’aimer. On va apprendre ce qui a à transformer en soi. Prise de conscience qui permet de devenir un tout personnellement.
S’il s’y trouve une planète, elle donne le ton à l’orientation des relations que la personne va avoir avec tout ce qui est collectif.  

Les planètes en Maison VII

Une planète dans la septième maison est également associée par tradition aux qualités espérées chez un partenaire. Là encore il serait plus juste de dire que ces qualités, symbolisées par la planète, appartiennent à l’individu, mais sont inconscientes et incarnées dans l’image du partenaire extérieur. On tente en général de «vivre» une planète de la septième maison par l’intermédiaire du partenaire, ou par l’intermédiaire du type d’expériences que la relation favorise – mais il importe que cette tentative soit rendue consciente pour être utilisée de manière coopérative et créative. 
Les planètes de la septième maison jouent en général un rôle plus décisif quand elles sont transpersonnelles, car Uranus, Neptune, Pluton sont de nature inconsciente. Il arrive très souvent qu’une personne ayant une de ces étranges planètes dans la «maison du mariage» vive des ruptures, des crises, des déceptions et un éveil au sein d’une union. Mais elle supposera en général que ces expériences lui sont imposées par le partenaire extérieur, et ne comprendra pas que c’est son «partenaire intérieur» qui les attire dans sa vie. Si elle accuse son partenaire uranien d’être froid, insensible et indifférent à la relation, ou son partenaire neptunien d’être décevant et de favoriser les désillusions, ou son partenaire plutonien d’être dominateur, possessif et ennemi de sa liberté affective, elle serait bien avisée de pratiquer l’introspection pour découvrir de qui elle parle en réalité. Les planètes dans la septième maison ne désignent pas le conjoint, elles révèlent la manière dont l’individu voit son partenaire. 

Avec le Soleil, la volonté du Moi profond dans ce secteur, cette position du Soleil n'indique pas qu'on va systématiquement bien réussir dans ses relations intimes car on peut aussi être trop soumis aux autres; mais elle indique que c'est par les expériences du mariage ou de n'importe quelle association intime qu'on peut réaliser au mieux sa destinée. Il faut oser sortir de soi-même, abandonner l'image qu'on a de soi et se lier librement, joyeusement, avec courage, sur une base d'égalité. Il faut se faire valoir, non pas en indépendant, mais en association avec d'autres personnes. 

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Avec la Lune, grande capacité de changement dans les groupes, sensibilité qui permet de s’adapter à ses relations. On va être très lié au groupe et sur ce plan-là les relations sont très importantes. Avec la lune en VII, il a une demande d’être materné ou de materner dans la relation

Avec Mercure en VII, on apprend d’avantage à développer sa capacité de communication dans des relations interpersonnelles qu’avec la lecture en restant chez soi. Il faut rencontrer beaucoup de monde, développer sa curiosité, bouger et s’adapter avec souplesse à son environnement relationnel à travers l’échange d’idées. Qu’est devenue Mercure et observer s’il y a domination dans les échanges ou si on se laisse dominer.

Vénus cherche à avoir des relations spécifiques pour soi, il s’agit de trouver un sens, un résultat, de la valeur dans tout ce que l’on fait dans la Maison, sinon on trouve que ça ne vaut pas la peine, donc ici c’est avec ses relations. Vénus permet aussi d’apporter de la valeur à ses relations, signe de maturité. On cherche autre chose qu’une simple relation sexuelle, ce qui n’est pas le cas avec Mars.

Il peut y avoir une incapacité à vivre seul avec Mars en VII, d’où danger de laisser les autres prendre des décisions à sa place. Il existe avec les trois planètes personnelles une même éventualité, celle d’avoir perdu leurs contacts. 
Avec Mars, on risque en voulant toujours privilégier l’association avec la mère, de privilégier le «tu», de se couper de sa capacité d’agir, de ce moyen qui nous dote de la volonté de devenir toujours davantage nous-mêmes. Il est difficile de garder son Mars avec des gens qu’on aime. 
Mars est un surplus d’énergie et c’est là où il se trouve que ce surplus va se déverser. Au positif, c’est là où il y a urgence à prendre en mains sa destinée, mais il y a souvent un désir égocentrique d’être gentil, bon, servile. Il y a don de soi, ou on élimine les autres, Staline avait une conjonction Mars-Pluton en VII.

Avec Jupiter, on veut s’épanouir en prenant les autres avec soi, il faut apprendre à partager. Le PDG ou le mystique agissent la même chose, mais ils veulent des récompenses pour ce qu’ils font, ce n’est pas toujours juste. Il s’agit de développer le sens des responsabilités au niveau socioculturel. On va avoir des problèmes si on ne le fait pas. 

Saturne en Maison VII. Avec cette position de Saturne dans son thème, on sent de manière aiguë ses différences par rapport aux autres. Il n’est donc pas facile de rencontrer ses partenaires sur une base d’égalité. Il peut y avoir une certaine rigidité et un accent sur les conventions. On cherche à compenser ses faiblesses, ses peurs, ses complexes dans ses relations.

On veut des relations qui apportent le changement avec Uranus, qui apportent des expériences qui obligent au changement. On se lance avec un enthousiasme sacré sur la voie de la transformation dans les relations, en s’appliquant à se libérer de tout ce qui entrave l’expression de sa vérité essentielle. On s’engage à être totalement soi-même, plutôt qu’on ne se dévoue à quelque idéal déterminé par des valeurs qui ne nous appartiennent pas en propre dans la façon de se lier. Il faut être ouvert et se dire que c’est à travers des expériences relationnelles imprévues qu’on peut évoluer, ouverture vers l’inconnu. On s’ouvre pour pouvoir être différent. Plus tard, on peut devenir capable de transformer les autres, car on s’est souvent transformé soi-même.

Neptune se trouve là où on se sent lié à sa société, à sa vie collective, mais on peut aussi subir sa société, genre de fatalité. Quand on veut ou qu’on doit commencer à changer, il y a des éléments qui cherchent à envahir le conscient. Neptune apporte l’insécurité au niveau des sentiments, au niveau de ce qui semble juste pour soi. Des éléments séparatifs en soi se dissolvent et c’est grâce à ça qu’on va pouvoir se lier aux autres d’une manière plus large et profonde. Neptune fait se dissoudre les éléments qui nous empêchent d’aller plus loin dans notre manière de nous lier aux autres. L’ego n’existe plus, on n’existe plus, c’est le néant et c’est dans ce vide que le nouveau vient, il y a de la place pour permettre au neuf de venir. Neptune vide la coupe, sans vider il est impossible de mettre quelque chose de neuf. Souvent on idéalise, on projette ses besoins, alors qu’il faut offrir quelque chose de plus riche dans la Maison où les choses et les gens sont auréolés d’une manière exagérée, mais par la suite il y a désillusion, vient le moment où il faut se conformer aux éléments de la Maison. 

Risque d’idéaliser ses relations, de ne jamais pouvoir se lier et d’aimer quelqu’un.
En VII, il faut se conformer à ses relations et discerner dans les groupes, pour trouver un idéal qui peut développer notre potentialité. Neptune conjoint à Vénus. Vénus est utilisée pour manifester des valeurs neptuniennes. Ne pas être possessif et avoir le sentiment qu’on ne pourrait pas vivre sans quelqu’un, début de la jalousie. Il peut y avoir une belle sexualité ou le contraire, car c’est une conjonction.

 Avec Pluton existe le risque d’être obsédé par un idéal surtout idéologique, qui va prendre le dessus par rapport à d’autres valeurs. En Maison VII, il y a un côté idéologique de vouloir imposer ses vues aux autres, ce sont des résidus de vies passées, de vieux moi, qui empêchent le moi de cette vie de s’exprimer vraiment. Désir de manifester une façon d’être en l’imposant. Ceux qui sont d’accord de travailler avec soi sont acceptés les bras ouverts, les autres on les élimine.  L’ego est à la base de tous nos problèmes, il ne veut pas changer, il veut rester dans les meilleures conditions possibles de sa société, besoin d’argent, donc besoin de profit, on va profiter de l’autre. On remet en cause ses droits individuels en VII et les problèmes naissent de ne pas vouloir modifier une idée de soi par rapport au collectif.  En VII, c’est le début de quelque chose, en s’unissant pas pour ne pas changer, mais pour se changer à travers une relation. Il y recherche d’harmonisation de deux rythmes différents qui s’unissent pour évoluer au contact de l’un avec l’autre, car c’est en s’adaptant à un nouveau rythme qu’on évolue. Ici, Pluton peut jouer le rôle de catalyseur d’une nouvelle façon de se lier. On «meurt» à quelque chose qu’on aime bien en Maison, c’est la meilleure contribution qu’on puisse faire à sa société, et en VII, c’est le partenaire qui aide, qui pousse à faire des choses ou à être un pionnier. 

Le 1er juillet 2024

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Les expériences de la Maison VII représentent une opportunité extraordinaire de transformation. C’est grâce au DS que l’on va découvrir qui on est. C’est en développant les qualités du DS avec ses relations et en les vivant plus ou moins automatiquement que l’on découvre qui on est
Exemple avec un Ascendant Balance et un Descendant Bélier. L’autre en face de soi dans une dynamique Bélier quand on vit avec lui, nous renvoie à ce qu’on aimerait faire passer justement avec lui. Si dans la dynamique Bélier, on devient pénible pour les autres et qu’ils nous le reprochent, et que nous, Balance (image que l’on a de soi-même), qui nous nous trouvons au contraire calme, tendre, harmonieux, c’est grâce à ce contraste qu’on va découvrir qui on est, «mais zut, je ne suis pas ça, je ne suis pas ce qu’ils disent, et pourtant... voilà donc qui je suis». Le DS est un champ de bataille, où l’on va sortir de soi-même et aller vers l’autre. Les expériences du DS apportent une initiation, une ouverture, un plus de nous-mêmes, l’ombre de l’ego. Tout une partie de soi se trouve dans le DS, et c’est ce qui fait, si on en fait l’expérience, qu’on va devenir complet, entier. L’autre n’est pas forcément Bélier, mais on cherche avec l’autre la petite expérience Bélier. C’est ainsi qu’on prend conscience de la dualité de sa vie, entre ce que l’on croit être à l'Ascendant et ce que l’on est réellement avec les autres au Descendant.

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Les signes sont complémentaires, donc il y a dans la Balance un refus de la confrontation et c’est en réalisant le Bélier en soi que l’on va résoudre le refus du conflit et l’accepter.

L’autre ne peut pas être le DS, puisque le DS est la face cachée de soi, qu’on a à découvrir. Donc, en acceptant d’être «l’autre», ce qu’on aimerait que l’autre soi, ce qu’on souhaite toujours de l’autre, en faisant cela on commence à s’aimer, on ose s’accorder pour la première fois ce qu’on est et qu’on a projeté jusqu’à présent chez l’autre. Avant ça, l’autre on le fabrique. Le problème naît du fait qu’on projette chez l’autre l’ombre de son AS.
L’AS Balance veut qu’on l’aime pour ce qu’elle est Balance, donc elle veut qu’on la comprenne spontanément, qu’on lui dise: «Quel tact tu as, quel sens de l’équilibre tu as, quel sens de l’autre tu as», etc. Elle se sent comme ça, mais en réalité avec l’autre elle agit en Bélier. L’autre va lui renvoyer la balle Bélier: «Tu ne penses qu’à toi, il n’y a que toi qui peut t’exprimer», etc. Donc, si l’autre me renvoie la balle Bélier, il faut que je comprenne le Bélier en moi.

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Pour celles et ceux que la lecture sur un écran gêne ou qui souhaitent imprimer les documents de ces douze Maisons pour les conserver, vous pouvez envoyer votre demande à cette adresse: chdonze@hotmail.com.

Je me ferai un plaisir de vous les envoyer

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La roue de l'expérience individuelle


 

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