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Saturne nous pousse à découvrir notre responsabilité personnelle fondamentale - Le son, l'ouïe, la peau et les os 

Niveau biologique

Dans Saturne nous retrouvons la racine, «sat », «st », qui donnera structure, strate et autre stabilité, mais aussi l’assise nécessaire pour être dans son assiette et se «tenir» debout ou encore stopper et rester stoïque . Traditionnellement, Saturne est associé aux os, à la colonne vertébrale et aux genoux, à tout ce qui constitue l’ossature et le squelette.
Saturne représente notre structure de base et régit toutes les maladies de cette structure, des fractures aux arthrites et rhumatismes de tous «poil» jusqu’aux «crises de croissance» qui se fixeront dans le squelette. Et cette protection se Saturne s’exerce aussi au niveau de la peau qu’il maîtrise en relation avec Vénus et la Lune. Là encore il joue son rôle de limites et de contenant, de séparateur entre le plein de l’organisme et le «vide » extérieur.
Saturne et le son: toute la colonne vertébrale vibre, situant le point d’ancrage du son dans le corps et la résonance se produit dans les os du crâne et de la face. Nous le retrouvons associé aux oreilles qui reconstituent l’ensemble du corps dans leur forme de fœtus, tout comme la «plante» des pieds et le rein. L’oreille assure une fonction d’équilibre et de verticalité que Saturne maintient. Nous sommes invités à passer de l’écoute à l’entendement, à ne pas simplement écouter, mais aussi à être entendu. La peau écoute et entend. L’ouïe est le premier des sens qui apparaît au niveau de l’embryon. Il incorpore tous les autres sens. Il est le coquillage de l’oreille.
Dans ce rôle d’écoute, saturne peut être relié avec la première vertèbre cervicale, Atlas, le géant mythologique porteur du monde. Serait-ce ce lien d’incarnation et d’antenne que cette vertèbre incarnerait? Serait-elle le radar captant la verticale du Ciel pour la transmettre au reste de la colonne vertébrale, tissant un comportement qui se traduit par un certain «port» de tête? Celle-ci façonne une écoute de soi plus ou moins réussie. Le changement de ton et de réalité sonore entre une parole dite avec le menton relevé ou au contraire incliné, exprime parfaitement le grand problème de verticalité qui nous préoccupe. Le cerveau a besoin du son, le corps a besoin du son: l’oreille est notre première initia-son!
Saturne est aussi en relation avec les dents, leur racine, leur sagesse et le plomb nécessaire pour colmater les brèches ou caries. Maladie des dents, maladie d’amour dit la chanson, mais de «dent et dedans» sonnent bien ensemble, signalant un ensemble «intérieur» qui se gâte. Tout Saturne symbolise la préservation de notre «essence». Ajoutons que les dents sont aussi un élément protecteur (Mars représentera le côté «broyeur») et stabilisateur sur le plan énergétique, en relation avec les émotions («claquer des dents»), le chaud et le froid (l’effroi!) Plus vieux vestiges du corps, mémoires archaïques profondes, en relation avec les morts de la famille, on trouve des couronnes dans notre bouche. Dans l’enfance, nous devrons quitter les dents de lait, les dents… de la mère…!
Saturne symbolise la préservation de notre identité biologique et vitale: son rôle, dans le sang, véhicule de la force vitale, est illustré par les globules blancs qui chassent les intrus. Ils les reconnaissent et les éliminent. Les globules blancs sont conçus au cœur de l’os: ils manifestent une identité de structure, l’os étant la première réalité de notre structure globale. Avec la peau et les os, Saturne représente le cœur de notre structure (la moelle) et la limite (la peau) de notre densité physique, de notre intégrité. On retrouve ici le sens de la notion d’être intègre, qualité rattachée au Signe du Capricorne puisque Saturne est le maître de ce Signe. Saturne est le poseur de limites, de frontières, de séparation.
Les mutilations de la peau nous font régresser aux premiers stades primaires de la Vie ou traduisent un retour à une fusion primordiale et indissociée. Un refus de devenir adulte en portant des tatouages? Etre à la mode en restant dans le ventre de sa société?
La peau, elle aussi, parle d’identité (risquer sa peau, sauver sa peau), de mutation (la mue) changer de peau). Saturne et surtout en relation avec le derme, porteur de messages qui remontent à la surface et nous obligent à des prises de conscience parfois douloureuses. La peau a des mémoires: cicatrices, blessures, verrues, grain de beauté, taches de naissances (mémoires de brûlés dans la famille?), pouvant indiquer des souillures ayant marqué le clan familial. Les allergies sont une forme élaborée de défense de l’organisme et sont à relier à Saturne pour une grande part.

Crise psychologique

Maître incontesté de nos mal-être qui peuvent dériver en crises de santé importantes, Saturne représente un type de mentalité où la sécurité, la protection, la fermeture, le blocage, l’interdiction règnent. Il n’est pas la maladie, ni même sa cause, mais il met le doigt sur un comportement qui reste fermé à la Vie, une zone de nous-mêmes hantée par des peurs, des empreintes ou autres fidélités familiales nous empêchant de grandir.
Révélateur des limites qui nous coupent de notre réalité d’être, il est l’expression le plus sensible et claire de la PEUR, symbolique de toutes les peurs. Dans la Maison du thème où Saturne est placée, notre moi subjectif a le droit d’avoir peur, parce qu’il est face à une réalité plus grande qu’il doit affronter en étant davantage responsable. On aura grandi quand on aura surmontée cette peur, on sera un peu plus adulte. 
Les problèmes de squelette, de peau, d’oreille, de dents expriment une difficulté de structure, une rigidité (dur d’oreille, dur à la tâche) ou une mollesse de l’individu (peur d’affronter la Vie). Les difficultés d’autorité, les stress, les séparations douloureuses peuvent remettre en scène des chocs d’évolution qui frappèrent aussi bien la planète (l’histoire du monde) que notre propre histoire familiale: nous sommes dans un premier temps, structurés par le cadre de notre clan tout autant que celui de notre culture!
Cette planète pose un problème psychologique majeur: ACCEPTER notre incarnation, accepter notre Vie. Les crises saturniennes concernent toutes le passage d’une obéissance à une loi extérieure (fondée par la culture). A une loi intérieure (fondée par l’individu), l’empreinte dans notre âme de l’image du visage de Dieu, pour pouvoir rencontrer en nous la sagesse de l’être. Cela veut dire passer de la loi du moi subjectif, qui est une acquisition de notre expérience personnelle relié à une conscience collective à la loi du Soi relié à la conscience objective de la totalité. 
Nous découvrons que nous pouvons être l’auteur de notre Vie et ne plus rester sous l’autorité d’un père, d’un milieu, d’un état. C’est ainsi que nous pouvons répondre à cette injonction de notre être profond: «Efforce-toi de devenir tel que tu veux que soit l’œuvre à laquelle tu aspires».
Nous pouvons créer une nouvelle relation entre la loi extérieure et la loi intérieure, rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. Cela implique de vaincre des résistances aux changements. Saturne, c’est apprendre par l’expérience directe personnelle, sans forcément reproduire les formules toutes faites, c’est prendre confiance en soi en assumant, en devenant responsable de ses actes, écrits et faits, c’est trouver sa réponse intérieure. Une réponse intérieure fournie par Uranus, Neptune et Pluton dans notre thème, qui se posent en défi à notre amour de la sécurité. 
Il nous faut vaincre l’inertie de la sécurité d’une famille, d’un cercle de relation, de travail ou d’un groupe politique ou religieux.
Avec Saturne, le temps est un facteur nécessaire, avec ses rythmes de croissance et de décroissance. Nous avons parfois l’impression de st-agner, d’être st-oppés et st-ériles alors qu’un travail important de compréhension et de digestion psychologique est en place, mais à un rythme assez impalpable. 
Les cycles de transits de Saturne qui viennent toucher tous les symboles dans le thème et son passage aux quatre angles du thème sont révélateurs de cette alchimie.

Saturne nous pousse à découvrir notre responsabilité personnelle fondamentale et nous questionne: comment utilisons-nous notre force de vie, sommes-nous bien dans notre peau? Le mot peau est entendu ici à plusieurs niveaux. Comme protection, tout d’abord, style «dur à cuir» ou «avoir la peau dure»: la peau élimine  et régule (sudation), repousse (contact), intègre, respire, refoule (boutons etc.). La peau rumine (se manger la peau), mue, exprime ses refus: l’allergie est un exemple typique de cette défense saturnienne. C’est un conflit venant d’une séparation difficilement acceptée et qui va se traduire ensuite par une défense décalée en quelque sorte. La réaction allergique montre une hypersensibilité à un danger ou une attaque venant de nos relations avec le monde extérieur. Nous ressentons une hostilité, un refus et nous ne pouvons le comprendre et le digérer. Le pollen, les poils de chat ne feront ensuite que symboliser ce ressenti, dans un contexte de perte d’identité et de non-reconnaissance.

Pistes de recherches saturniennes

Pour comprendre astrologiquement les crises pouvant affecter notre ossature, voici quelques idées. Dans le cas de problèmes touchant nos cervicales, il faut regardez si Saturne se trouve (au natal ou en transit) en Bélier, Taureau ou Gémeaux ou fait un aspect «énergétique» à des planètes situées dans ces signes ou leur maître. Exemple, Saturne en Taureau, carré à Vénus en Lion, peut très bien «somatiser» un problème d’orientation affective par un torticolis: nous ne savons plus où aller, la direction est bloquée et les freins vraiment très assistés. De plus, nous ne pouvons plus dire non (rôle de Saturne) en tournant la tête (aller voir ailleurs). Nous pouvons faire de même avec les différentes zones vertébrales. Les problèmes de cervicales sont aussi à relier à un poids qui nous écrase les épaules, à une sorte d’épée de Damoclès suspendue sur notre tête, à une écoute difficile qui heurte nos tympans (atlas). Nous crispons notre nuque, nous raidissons le cou, quelque chose ne passe pas.
Si nous nous sentons dans un climat de dévalorisation puissante, touchant une difficulté à mettre en action un projet personnel, les cervicales peuvent traduire cette crise par des blocages particuliers (maux de tête, vertiges, la thyroïde surchauffée). Les tensions de cette zone correspondent à des tensions psychologiques liées aux trois premiers signes du zodiaque et à leur «conversation» avec Saturne.

La polyarthrite rhumatoïde, maladie auto-immune est une façon de retourner contre soi une colère et un sentiment d’injustice par rapport à un legs du passé, un héritage familial, une ombre (secrets honteux) lié à notre clan ou à notre culture. Mais comme nous ne pouvons rien changer à cela, si ce n’est nous-mêmes, cette inflammation très douloureuse et sclérosante va très souvent toucher les mains. L’origine est une forme de culpabilité et d’impuissance: nous ne pouvons rien y faire et c’est dramatiquement lourd à porter.
La spondylarthrite rhumatoïde (maladie auto-immune) est l’expression typique d’une problématique des lombaires : nous sommes le pilier d’une famille, d’un cercle, d’un milieu particulier et nous sommes seuls. Comme pour la polyarthrite, l’héritage généalogique est d’une grande aide pour comprendre le processus.
Avec le sacrum (Scorpion, Sagittaire), nous sommes en contact avec des conflits puissants reliés à la sexualité, à des rapports mystérieusement flous (secrets de famille) qui existent dans notre clan, plus particulièrement dans les rapports parents-enfants (stérilité, problème de testament, d’héritage, de prostate et d’ovaire). La Vie nous fait «tomber sur le cul» ou avoir les fesses entre deux chaises. La perte d’un sens sacré ou des conflits moraux importants peuvent aussi apparaître (Saturne en Sagittaire surtout).
Les côtes font partie de la panoplie saturnienne: protection de notre cage thoracique (thoracao = cuirasse), de notre respiration (notre espace vital). Elles parlent aussi des relations avec ce qui est à nos côtés, sur nos flancs, de nos collatéraux. Les côtes blessées évoqueront un conflit avec notre entourage proche. Les aspects Saturne/Mercure sont impliqués.
Les fractures impliquent des problèmes de résistance: «Je tiendrai jusqu’au bout»! Parfois cela craque et cette rupture est comme une forme de libération: il n’y avait pas d’autres moyen pour exprimer la ou les tensions sous-entendues par le craquement. Cette brisure traduit un mélange de peur, de résistances, de colères et de violence qui n’ont pu véritablement venir à la conscience.

Une hanche qui se brise fait aussi partie du domaine de Saturne. C’est une absence d’image positive venant du père. Plus tard c’est l’incapacité de se porter qui n’a pas bien joué son rôle. C’est une mauvaise prise en charge
La fracture est lourde à payer. Mais elle a l’immense mérite de nous immobiliser. Cet handicap nous oblige à accepter de l’aide et dans le meilleur des cas, à changer d’orientation.
Saturne est un élément clés des scléroses qui, pour la plupart, contiennent un terrain généalogique de dévalorisation très puissant. Si ajoute une angoisse de mort importante (peur d’exister) et des résonances fortes à la misère humaine provoquant un énorme désir de réparer, d’être sauveur (mythe avec Neptune). Nous pouvons y déceler aussi une attitude de performance à tout prix (y arriver coûte que coûte). Nous arrivons à la paralysie, mot qui peut s’entendre, musicalement parlant, comme «parés pour être sur le lit»!

Extrait du livre «Le chant de la résonance» de Jean-François Berry

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Saturne, le grand maître des réalités terrestres

Selon Dane Rudhyar (Daniel Chennevière), Saturne se réfère à la nature fondamentale d’une personne, à la pureté de son véritable moi. Il semble que Saturne en soit arrivé à avoir une réputation négative aux yeux de nombreux astrologues parce que la plupart des gens ne vivent pas en accord avec leur nature fondamentale mais plus en fonction des modes, des schèmes sociaux et des traditions, ainsi que des jeux de l’ego.

Saturne est souvent appréhendé comme un «reproche austère» ou comme un acte provocateur du «destin» visant à nous amener à prendre en considération les besoins de notre nature fondamentale.

Saturne est vraiment un maître d’œuvre dur, ainsi que l’affirment maints ouvrages anciens, et il sera d’autant plus brutal que nous serons éloignés de notre véritable nature.
Saturne dans le thème révèle un domaine dans lequel nous expérimentons des devoirs et des responsabilités karmiques qui visent à nous aider à discipliner notre esprit et nos désirs.  

A l’origine et au centre de chaque être il y a une source solaire d’énergie, de vie et d’identité. A partir du moment de la conception (au niveau corporel, organique) et du premier souffle (au niveau du Soi ou esprit individuel), de l’énergie rayonne de ce centre solaire.
Elle rayonne sous le contrôle de Mars et est portée toujours plus loin par le pouvoir expansif de Jupiter. Que ce soit au niveau de corps ou au niveau du moi individuel, cet alignement Soleil-Mars-Jupiter permet à la personnalité en herbe de prendre de la distance avec ce qui l’entoure et de l’assimiler.
L’individu conquiert ainsi son espace vital; et, quand la pression de l’environnement devient trop forte, il arrête sa marche en avant et consolide sa position. C’est à ce moment-là seulement que Saturne devrait entrer en action puisqu’il doit consolider ce que Jupiter a gagné.

Saturne complète l’influence de Mars qui pousse à l’action. Saturne lui, est l’obstacle qui ralentit, qui freine l’homme, l’amenant à réfléchir avant d’agir.
Saturne focalise. Ses forces permettent à l’homme de se concentrer, de faire preuve de persistance. Mars et Saturne montrent bien que, comme le Christ, l’homme porte véritablement une croix à chaque incarnation. L’influence de Saturne est souvent ressentie comme un fardeau de souffrances morales et physiques; et la question qui se pose est pourquoi?
Dans le royaume de Dieu, tout s’équilibre de manière à produire le plus grand bien pour tous: ainsi l’influence de Saturne est utilisée d’une part pour tempérer la vie exubérante de Mars, d’autre part pour limiter l’expansion de Jupiter.

La nature intrinsèque de Saturne est: obstruction. Il est aussi lent et tenace que Mars est impulsif et prompt à changer; il ne compte pas sur le hasard, mais regarde l’obstacle avant de le franchir, et sa raison froidement calculatrice ne manque pas de considérer tous les points faibles d’un projet avant de nous permettre de l’exécuter.

La victoire est donc acquise à celui qui ose avancer, vaincre et ensuite assimiler ce qui l’entoure; elle n’est pas donnée à celui qui pense constamment à la façon de résister.
Dans le premier cas on place sa foi dans son centre solaire; dans le second, on compte sur le pouvoir saturnien de résister et de se défendre.

La valeur spirituelle d’un homme se mesure non pas d’après ce à quoi il a résisté avec succès, mais d’après ce qu’il a exprimé ou imposé au monde. On le juge non pas selon la force de son ego, mais selon sa capacité d’accomplir de manière significative l’intention de sa volonté solaire.
Si l’on veut éviter une chute ou ne pas connaître le sentiment déprimant de ne pas s’être accompli dans la Maison où se trouve Saturne, il importe de se sentir responsable, d’être le père d’une manière claire et stable de ce qui se passe dans ce champ d’expérience. Il faut se spécialiser, se limiter volontairement.

On croit que les limitations vont nous rendre malheureux, ce n’est pas ça, il faut focaliser pour ne pas être flou, sinon on ne représente rien, Saturne est nécessaire pour devenir un individu.
Il faut faire attention à l’emploi exagéré de Saturne, on risque de devenir tyrannique. C’est nous qui déformons le sens des planètes en fonction de ce que nous sommes, elles sont à utiliser comme fonction psychologique dont on a besoin pour s’individualiser. Avec une conjonction Jupiter-Saturne, il faut accepter des responsabilités dans sa vie.

On relève qu'aux environs de l'an 7 avant J.-C., une conjonction Saturne-Jupiter s'est produite, qui représente l'union des opposés extrêmes, et qui placerait de ce fait la naissance du Christ dans l'ère des Poissosn, et u début de ce Signe. Le Signe des Poissons est souvent figuré par deux poissons qui nagent dans des directions opposés

Les mots-clés de Saturne

La discipline, la patience, la persévérance, la prudence,  la concentration, le sérieux, la gravité, le conservatisme.
L’isolement, la tristesse, la mélancolie, les épreuves, les souffrances morales et physiques, l’insuccès.
Les chutes morales, physiques et sociales. La pénurie,  la restriction, l’obstruction, l’austérité, les privations.
Le froid, l’âge, la vieillesse, la longévité, la mort. L’exactitude, la stabilité, l’expérience acquise, les traditions. La terre, l’agriculture. La science, l’ordre, la méthode.
Le poids, ce qui est lourd, pesant, rébarbatif. En résumé, Saturne produit ou oblige en freinant,  en retardant. Elle est lenteur, absence, opposition.
C’est la planète des têtus. Elle permet de se tenir droit.  
Dans le corps: elle symbolise les os, le squelette et le système immunitaire de défense psychologique.

 

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